Les ventes de bovins de boucherie sont calmes malgré le début de la saison estivale
Cette semaine est marquée par le début de la saison estivale, mais la consommation reste marquée par une baisse durant la canicule de la semaine passée. Les industriels couvrent un peu plus facilement leurs besoins en réformes laitières, mais sans excès.
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Les tarifs des vaches prim’holsteins P+/O- se maintiennent entre 5,95 et 6,00 € en fonction des abattoirs et des compléments de prix accordés. La majorité des P=2 ou 3 de poids convenable est vendue à des prix stables entre 5,70 et 5,85 € en fonction du poids et de la finition. Les vaches P- sont négociées de 5,00 à 5,30 €. Les prix des normandes et des montbéliardes sont reconduits entre 6,00 et 6,20 € pour les très bonnes. Les O sont valorisées entre 5,80 et 6,00 €.
Juillet débute sur une relative stabilité des prix pour le secteur allaitant avec des abatteurs qui ont de quoi couvrir leurs besoins en livraison directe. Sur le marché de Cholet, l’offre est un peu plus étoffée, ce qui se traduit par un commerce un peu plus calme. Les charolaises R sont négociées entre 6,30 et 6,60 €. Les charolaises lourdes U sont valorisées entre 6,60 et 6,80 €. Les tarifs sont inchangés pour les femelles blondes d’Aquitaine avec des U= échangées autour de 6,90 €. Les prix des limousines U= sont de l’ordre de 6,70 €.
Pour les jeunes bovins, la situation est plus compliquée, car le marché intérieur ne peut absorber ce qui ne part pas à l’exportation. Le commerce est très calme avec des tarifs qui peinent à se maintenir en fonction des opérateurs.
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